A courir sans cesse derrière la trotteuse
A courir dans le temps
A courir tout le temps
entre le pas et le galop
c’est à la seconde près
cherches tu trotte-menu pour avoir des “sourie”
le monde est caméra, sourie s’il te plaît
Hera te le demande
elle se dit ça m’ira
ça ira,
les aristocrates à la lanterne…
à la lente terne…ne sont plus de ce temps
Longue est la distance mais je l’ai parcourue
cette planche de salut a pourtant deux roulettes orientables et un guide
elle est son propre maître et le reste suit
Le croissant argenté était pourtant devant toi
au petit déjeuner comme à la nuit tombée
Pleine lune du départ, ronde en sa totalité
croissant le jour de l’arrivée
tu l’as laissée filer,
lune noire dans le caniveau
point reconnu le signe d’un nouveau départ
tu l’as donc remise à son point de départ
arc en ciel pourtant
avais tu donc le com. “pas” dans l’oeil
pour utiliser aussi vite le rapporteur
d’un trait tu as tout renoncé
il fallait faire le pas..
mais pas le con
quel est ce trouble dans tes yeux
le trouble dans tes cieux
le trouble des jeunets ou le trouble des genêts
Je nais
connaissance par la came
arrivée par le come
to come back en arrière
Whaouh tu as fait très fort là ! Entre le pas et le galop chez certains quadrupèdes il y a l’amble démarche qui peut paraitre pataude mais qui sied à merveille à la monte en amazone plus confortable aussi . Le cheval islandais possède cette allure particulière ainsi que l’ours , l’okapi, le chameau . Chat qui ne dit mot ….
c’est ce que lui ai dit souvent… mais l’amazone peut monter à cru aussi.. elle a de la classe mais du courage à monter sans selleexcellent tir quand elle décoche..
chat alors … c’est passé à chameau.. un chat en fuite se transforme très vite
il a tout mélangé je nais avec n’y a, nias. Quel désordre…!
même dans l’apostrophe il y voit cata strophe popo.. caca…… trop tard…
en peau et pot quelqu’un mal dans sa peau c’est pas de pot
et c’est vrai qu’il a été ours mais mal léché… mal laissé … c’est pourtant doux dormi avec nounours dans ses bras..c’est pas drôle de voir à quel point les souffrances de l’enfance ont des répercussions dramatiques