( des gestes amplifiés, des mots superlatifs comme c’est extraordinaire, des tenues extra va gantes  de quoi se faire remarquer, attirer l’attention… d’ailleurs elles le disent elles même.. cela va des tenues avec des noeuds partout, des couleurs pétantes, à du blanc partout vêtements, chaussures et les objets intérieurs comme des tenues militaire ou cow boy avec une tendance à sauter sur tout le monde, des gestes avec les poings levés, l’envie de taper ( et cela tape aussi) parler très fort avec rage..   et puis faut les entendre   la plus belle fille du monde, les plus beaux yeux du monde, le meilleur champagne,  tu peux pas comprendre, tu est trop forte…c’est fabuleux .. c’était fantastique, c’était merveilleux … incroyable !! prodigieux

Toujours à en rajouter.. faut que cela soit mieux que les autres… qu’on regarde, qu’on remarque, ne pas passer inaperçu… d’”ailleurs comment faire pour ne voir ce qui est fabuleux, extra ordinaire ! indescriptible        sensationnel ..      mais oui….!   Y pas mieux…!

 

Les névroses sont des maladies psychiatriques relativement bénignes dans la mesure où elles ne s’accompagnent jamais d’une désorganisation de l’esprit. Un névrosé n’est pas un malade mental et ne le deviendra pas. Elles sont assez sérieuses néanmoins, car elles sont chroniques. Elles entraînent une gêne sociale notable chez ceux qui en souffrent, et les limite beaucoup dans leur vie individuelle.

Si névrosé n’est pas un malade mental pourquoi dire les névroses sont des maladies psychiatriques ?     çà va pas la tête ..!

mérite des baffes …  c’est quoi cet esprit non organisé ???

 

bon ben entre ceux qui peuvent être énervés, et ceux qui  considèrent que leur bonheur est intense…….. si … si … tout va bien… tout va très bien , c’est merveilleux… y a pas mieux.. c’est extra ordinaire

hystérique masculin et féminin identiques

  1. Personne qui témoigne d’une grande nervosité, d’une exaltation exagérée.

http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychiatrie/adulte/pathologie/hysterie.htm

 

http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/principales_maladies/ps_2623_nevrose_hysterique.htm

 

La psychanalyse ne peut pas être proposée systématiquement. Cependant le patient hystérique est capable de transfert sur le thérapeute pour rejouer toute sa problématique infantile.

– Il faut entendre le symptôme comme une demande.

– Ne pas se laisser prendre au piège de la demande, symptôme du désir de l’hystérique d’avoir un désir insatisfait.

– L’hystérique doit pouvoir en retirer un bénéfice secondaire, sinon il partira.

Les médicaments sont inopérants, sauf l’effet placebo pour les états de crise. Dans les phases aiguës, lors de décompensation anxieuse ou dépressive, les antidépresseurs vont corriger les troubles biologiques.    ( ben bien sûr c’est évident… une baisse de fer, ou pas assez de globule rouge.. des anti dépresseurs.. un manque de magnésium ? des anti dépresseurs..     VIVE LA VIE !

  http://www.wikimedecine.fr/Anomalies_biologiques

  comment peut on sortir une ineptie pareille .. si médicament inopérant sauf effet placebo sur états de crise qui est dite aïgue que les antipresseurs puissent corriger troubles biologiques.. contradiction, contre sens

– Il faut remodeler le réinvestissement narcissique, faire des psychothérapies à rythme lent, sans interprétation et non-directives, pour passer le cap. Ne pas tomber dans la problématique de son corps, lors par exemple d’examens cliniques.

– Risque de rejet de la part du personnel soignant car il revit des choses homosexuelles.

– Attention : l’hystérique parvient parfois, à force d’obstination, à se faire opérer, ligaturer les trompes par exemple. C’est inconsciemment l’assurance de n’avoir jamais d’enfant du père. La patiente hystérique se punit de quelque chose qu’elle n’a pas fait. Seul le désir est coupable.

 

Psychisme  Clinique

 

 


La personnalité hystérique

Patrick Juignet, Psychisme, 2011.


La personnalité hystérique fait partie de la sphère névrotique. Cela implique que l’évolution et la psychogenèse se soient bien passées jusqu’au moment de la troisième structuration, celle débouchant sur le conflit œdipien. Contrairement à l’opinion répandue les personnalités hystériques, bien que démonstratives, ne sont pas caricaturales. 


PLAN


1/ Clinique

L’enfance

Les manifestations d’une orientation hystérique de la construction de la personnalité peuvent apparaître dès quatre ou cinq ans. Le caractère se modifie. L’enfant montre une suggestibilité, une tendance trop prononcée à l’imitation avec des changements de modèle rapides. Chez la fille apparaît une coquetterie excessive, des attitudes de séduction envers les adultes. La famille est structurée et ne présente pas de caractéristiques foncièrement pathogènes, mais on note un lien privilégié entre le père et la fille.

Les symptômes sont divers. Ce sont principalement des somatisations comme une aphonie, une paralysie, des troubles sensoriels. Ce peut être un mutisme qui est souvent complet (intra et extra familial). L’enfant a une propension à faire des crises de nerfs. Son insertion sociale et scolaire souffre : inhibition, inefficacité dans les apprentissages, difficultés d’attention, rêverie. Souvent ces manifestations font suite à un évènement déclenchant : accrochage scolaire, conflit familial, maladie somatique, problème dans l’entourage.

À l’adolescence, les troubles s’accentuent et le tableau clinique devient proche de celui de l’adulte.

Le caractère

Le théâtralisme est caractéristique. Il reste modéré et n’est jamais caricatural ou désadapté (dans ce cas on quitte la spère névrotique). Grâce à lui, l’hystérique interpelle l’autre. Les événements sont dramatisés, les propos sont amplifiés, les attitudes et les émotions sont exagérées. L’hystérique est à la mode, habillée de manière à attirer l’attention et à ne pas passer inaperçu. La vie imaginaire imprègne la réalité concrète et sociale. L’hystérique modifie, enjolive, afin de rendre sa vie plus excitante. Il y a toujours une avidité affective, une demande exagérée vis a vis de l’autre qui entraîne des attitude de séduction, une recherche du prestige, le besoin d’être la vedette. On rencontre deux inflexions possibles dans le caractère hystérique : Parfois des caractères faibles, suggestibles, influençables et donc versatiles dans leurs opinions leurs choix. Parfois il y a une forte affirmation de soi, une assurance, parfois un autoritarisme. Cette forme affirmée s’accompagne chez les femmes de tendances masculines et d’agressivité envers les hommes.

Les conduites

La conquête, la réalisation, débutés dans l’enthousiasme ne sont jamais satisfaisantes, surtout dans le domaine sentimental. L’élu est vite rejeté, car il est décevant, ses mauvais côtés apparaissent vite, il ne procure par la satisfaction sexuelle escomptée. Ce qui est possédé perd de son intérêt. Les hystériques évitent le plus souvent le contact sexuel qui n’est pas très satisfaisant, d’où la rupture lorsque la séduction débouche sur une relation. L’hystérique a une frigidité relative et préfère la masturbation aux relations sexuelles. Toutefois cela n’est pas systématique et certains, surtout de sexe masculin, ont une vie sexuelle bien remplie. Le sujet a peu d’intérêt pour le résultat, l’essentiel étant dans l’apparence, le beau geste, le fait d’être à son avantage. Il préfère se réfugier dans la vie imaginaire plutôt que de se confronter aux contraintes de la réalité. Il est donc en général peu efficace. Remarquons enfin, et ce n’est pas la moindre des caractéristiques cliniques, même si elle est difficile à cerner, que la plasticité du sujet peut donner des conduites toutes différentes de celles que l’on s’attendrait à trouver. Pour plaire, il peut prendre des attitudes qui lui sont étrangères (devenir efficace, se sentir féru d’ordre, être actif sexuellement). Un certain nombre de conduites sont donc, en apparence, hétérogènes au tableau clinique. Elles s’y intègrent pleinement, car elles signent la plasticité du sujet.

Les conversions

Les somatisations sont appelées "conversion" depuis Freud (1895) pour signaler que le problème psychique se « convertit » dans le somatique. Les conversion somatiques ne sont pas présentes chez toutes les personnalités hystériques. Les manifestations sont diverses. Ce peut être la paralysie d’un membre, l’impossibilité se tenir debout (astasie abasie), l’incapacité de parler (aphonie). Parfois le sujet présente une insensibilité partielle ou totale, des sensations bizarres (fourmillements, brûlures), des douleurs diverses, des céphalées. Il peut souffrir de contractures, de crampes, de trouble sensoriels le plus souvent visuels (vision floue, dédoublement, rétrécissement du champ). Il peut exister des troubles viscéraux tels des spasmes bronchiques, digestifs ou urinaires. Les grandes crises, avec des convulsions d’allure épileptoïde, ne correspondent pas à l’hystérie névrotique mais plutôt aux personnalités histrioniques (voir : Personnalités histrioniques). Par contre, on rencontre fréquemment des crises de tétanie avec contractures fourmillements crampes, tachycardie, oppressions respiratoire, des états seconds, un refus de la communication. Lorsqu’ils ressemblent à des troubles somatiques connus, ils sont cliniquement paradoxaux.

VOIR EN BAS DE PAGE   LIEN  de tétanie avec tétanos… oui depuis 50 ans on a évolué….!

Ce sont des troubles corporels, au sens ou ils viennent directement du schéma corporel et de l’imaginaire du corps. Le mode d’installation de ces symptômes est caractéristique. Le début est brusque et ils s’accompagnent d’une « belle indifférence » : il y a une plainte de circonstance et le trouble est bien toléré malgré son caractère invalidant. Les symptômes ont une valeur expressive, on peut leur trouver un sens même s’il est flou, vague et incertain. Ils sont rapport avec l’époque et la culture. Les aspects somatiques sont des troubles purement fonctionnels, c’est-à-dire réversible. Ils ne s’autonomisent pas en syndromes physiopathologiques ou en maladies somatiques avérées.

L’évolution

Les désagréments de la vie relationnelle provoquent, chez l’hystérique, des épisodes dépressifs. La dépression entraîne parfois des tentatives de suicide de gravité variable, mais en général faible. L’acte suicidaire représente une décharge des tensions accumulées et par là il se rapproche des « crises ». La tentative de suicide se situe aussi dans le théâtralisme et comporte une demande affective. C’est un appel pour remanier le champ relationnel. Avec l’âge on voit apparaître des syndromes dépressifs chroniques traînants et récidivants qui donnent lieu à une alcoolisation compensatoire. L’hystérique change de style et s’installe dans la dépendance et la plainte. Il y a une accentuation des plaintes à caractère somatique qui prennent une allure plus hypochondriaque et s’accompagnent d’exigences de prise en charge médicale inadaptées.

Théorisation

L’hystérique a une organisation désirante marquée par la position phallique et la recherche d’équivalents œdipiens. La psychogenèse explique pourquoi l’hystérie est majoritairement féminine.

Le blocage œdipien

Dans la configuration familiale typique il s’agit d’une fille qui na pas été assez aimée. On remarque un manque de tendresse paternelle , qui laisse un regret important, et une nette insuffisance d’amour maternel entraînant des difficultés d’identification à la mère. Ces circonstances associées à la dynamique personnelle du sujet laissent supposer à la fille qu’une conquête du père est possible. Il s’ensuit des échecs et une déception permanente par rapport aux hommes car le référent objectal n’est jamais à la hauteur de l’objet, qui reste marqué par l’image du père idéalisé. Dans ces conditions, le désir sexuel représente une satisfaction incestueuse interdite. « L’insatisfaction » sexuelle, fréquente chez l’hystérique, réalise donc un compromis entre le désir et interdit. La quête de l’hystérique porte avant tout sur la recherche de l’amour. Elle veut être aimée d’un autre parfait, qui renvoie une image parentale idéalisée. Elle recherche obstinément l’amour de l’autre en tant que figure parentale perdue.

Les tendances régressives

La régression phallique peut prendre deux tournures très différentes. Soit une revendication phallique entraînant une identification masculine et une agressivité envers les hommes. Soit un renoncement et un refuge dans le prégénital qui donne les allures de petite fille aguicheuse. La sexualité manifeste une oscillation entre le phallique et le génital. Malgré les apparences (coquetterie, séduction, tenues sexy) l’hystérique ne prend pas un rôle féminin. Il persiste un regret partiel et inconscient de la possession du phallus qui suscite moins le désir que la haine et l’envie.

Dans la structure fantasmatique organisatrice des pulsions, la représentation du phallus existe, mais elle n’est pas liée à celle de l’homme et le corps féminin n’est pas situé comme son objet corrélatif. L’objet sexuel bien que global (corps sexué), garde un caractère « partiel » car l’autre reste en partie absent. Concrètement cela se traduit par le choix de référent représentant l’homme sans phallus (n’ayant pas le droit ou la possibilité de s’en servir tel prêtre, médecin, professeur) ou bien par la séquence bien connue séduction sans conclusion sexuelle (permettant d’éviter le phallus masculin) ou encore par des relations sexuelles prenant une tournure de captation phallique (attitude donnant l’impression de s’approprier le phallus du partenaire ou aboutissant au fiasco du partenaire)

Il existe assez souvent des tendances orales infiltrant la personnalité, mais elle ne constitue pas une régression caractéristique. Le manque d’affection maternelle qui favorise le problème œdipien a pu se faire sentir précocement, si bien qu’il reste des traces sous forme de recherches compensatoires (besoin de contact, de toucher, d’agripper, d’avoir des câlins, etc.). Une insuffisance partielle du « holding » maternel fait souvent le lit de l’évolution hystérique.

La faiblesse narcissique

On sait que la résolution de l’œdipe apporte une stabilisation narcissique en donnant une identification stable et valorisée. Chez l’hystérique, les identifications sont labiles car la fille n’a pu utiliser le modèle maternel. L’hystérique a donc un soi qui est mal stabilisé. Le narcissisme secondaire fragile, entraîne diverses manifestations de réassurances et, tout particulièrement, une survalorisation phallique qui, chez la fille, se déplace sur l’ensemble du corps. Si l’on considère le mouvement pulsionnel par lequel c’est soi-même qui est visé, cela donne une tendance que l’on peut qualifier d’« homoérotique ». L’investissement excessif du corps est autant libidinal que narcissique. Le déplacement de l’investissement sur l’ensemble du corps est un mouvement normal chez la fille, mais, chez l’hystérique, il est trop accentué et se fait au détriment de l’investissement génital.

Le corps

Les somatisation hystérique ont été baptisées de conversions par Freud, au sens ou elles convertissent assez directement un conflit psychique en symptôme somatique. Le symptôme corporel hystérique représente un compromis entre le désir et l’interdit.. Il correspond à une résurgence dans une situation donnée des représentations refoulées mais sous une forme déformée et masquée. Par ce biais, l’hystérique demande à un personnage paternel (prêtre, médecin) de s’occuper de son corps. La demande se fait sur un mode régressif qui emprunte à l’oralité : les soins, le toucher, la réassurance. La sexualité génitale n’est pas pour autant absente, elle est refoulée. Elle va donc se manifester de manière indirecte.

La conversion (paralysie, douleur, spasmes, etc.), dépend des circonstances et de l’expérience individuelle. Sa signification varie d’un sujet à l’autre. Comme le remarquait très tôt Freud, la conversion est toujours surdéterminée. Elle a toujours plusieurs déterminations. Ce peut devenir une manière de s’exprimer, si bien qu’il peut y avoir sans cesse de nouvelles somatisations, en rapport avec les circonstances.

Bibliographie

Freud S. (1895), Études sur l’hystérie, Paris, PUF, 1974. (1905), « Fragment d’une analyse d’hystérie », in Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1977. (1913), « La disposition à la névrose obsessionnelle », in Névrose, psychose et perversion, Paris, PUF, 1973. (1924) « Névrose et psychose », in Névrose, psychose et perversion, Paris, PUF, 1973. (1926), Inhibition symptôme et angoisse, Paris, PUF, 1981.

Fénichel O. (1953), La théorie psychanalytique de névroses, Paris, PUF, 1953.

Chartier J.P. (1986), « Structures névrotiques », in Psychologie pathologique, Paris, Masson, 1986.

Marcelli D. (1999), « La névrose chez l’enfant », in Enfance et psychopathologie, Paris, Masson, 1999.

Millet L, Pon J., Millet-Bartholi F. (1994), La crise du milieu de la vie, Paris, Masson, 1994.

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http://www.psychisme.org/Clinique/Histrionique.html

alors il serait nécessaire d’arrêter de tout caser dans les maladies mentales …

Tétanie — Wikipédia 
  

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tétanie

la crise de tétanie, qui est un syndrome d’hyperexcitabilité neuromusculaire … Les violentes crampes et contractions musculaires causées par le tétanos ne sont …

 

et puis c’est pas la personne qui panique mais les autres qui regardent….     calme toi, calme toi, je sais pas quoi faire…….      et pourtant c’est la personne qui va demander un sac en plastique pour souffler dedans, ce qui permet de ralentir la respiration, calmer l’hyper ventilation..      le stress grand consommateur de magnésium..   aussi

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encore le vaccin du tétanos accusé – Spasmophilie, crise de …

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