Corcelles-les-Monts est une commune française, située dans le département de la Côte-d’Or et la région Bourgogne.
De corcelles les citeaux, je passe à Corcelles les Monts
La commune est située à quelques kilomètres de Dijon et se situe au pied du Mont Afrique.
Château de Gouville, construit par M. Legouz de Gerland
et Gerland est près de Corcelles les Citeaux…
« De sinople au coq hardi d’argent, membré, becqué, crêté et barbé de gueules; au chef ondé aussi d’argent »
MONT AFRIQUE
mont Afrique est un sommet de la cuesta de Côte d’Or, dans le département du même nom. Il est situé sur les communes de Corcelles-les-Monts et Flavignerot, à proximité de Dijon.
L’origine exacte du toponyme Afrique, assez insolite pour la région bourguignonne, n’est pas clairement établie. Une légende locale ainsi que quelques auteurs pensent qu’il fait référence à un corps auxiliaire des légions romaines, constitué de troupes africaines, qui aurait stationné en ce lieu. En effet, il existe au sommet du mont les restes d’un campement antique, d’ailleurs encore appelé « Camp de César ». C’est la thèse, notamment, d’André Guillaume : « on y a découvert de nombreux objets et monnaies des époques gauloise et romaine, ainsi que des tuiles à rebords dont certaines avec estampille de la 8e légion appelée Africana »
. M. Beaulieu, un érudit du début du XIXe siècle, pense qu’il s’agit plus simplement d’un nom dérivé du latin anfractum, « croisée de deux chemins », ou d’apricus, « exposé au soleil », ce qui correspondrait mieux à la géographie du site.
Située à 5 km de Dijon qu’elle domine au sud-ouest, la montagne a une topographie tabulaire et relativement plate. Avec 600 mètres d’altitude, il s’agit du 2e plus haut sommet du massif de la Côte d’Or, juste derrière le Plain de
Suzâne
qui le dépasse de deux mètres. De par sa position, il est possible par temps clair d’apercevoir le massif du Mont-Blanc, situé à environ 215 km au sud-est.
Le site est occupé du Ier siècle av. J.-C. au IVe siècle par un oppidum des Lingons3.
Selon l’historiographie traditionnelle (largement remise en cause aujourd’hui), la bataille dite « de Dijon »4 qui précède Alésia en 52 av. J.-C. oppose la cavalerie de Vercingétorix à l’armée romaine de César et à ses auxiliaires germains dans une plaine située aux environs de l’actuelle ville de Dijon5,6. Bien que le site de cette bataille reste encore sujet à polémique, au même titre que celui du siège d’Alésia, quelques éléments de la toponymie locale (« Camp de César », « Mont-Afrique ») ainsi que quelques restes archéologiques semblent évoquer l’hypothétique présence dans la région de troupes africaines auxiliaires des légions romaines ; c’est la thèse, notamment, d’André Guillaume1. Néanmoins, aucun élément tangible ne permet de valider définitivement ces suppositions pour le site même du mont Afrique.
Un réduit du système défensif Séré de Rivières
Au lendemain de la défaite de 1870-1871, Dijon est choisie, avec Langres, Besançon, Reims, Laon et La Fère pour constituer la « deuxième ligne » du système de défense de Séré de Rivières (la première étant axée sur Verdun, Toul, Épinal et Belfort). Un ensemble de forts ceinture donc l’agglomération de 1875 à 1883 et donne naissance à la place fortifiée de Dijon. Le mont Afrique, situé à quelques kilomètres au sud-ouest du fort de la Motte-Giron, est choisi pour abriter un réduit, c’est-à-dire un ultime point de résistance d’une position comprenant un noyau (le réduit proprement dit) et des positions satellites. Bâti entre 1878 et 1879, ce réduit du mont Afrique, initialement prévu pour l’accueil d’une troupe de 600 hommes, se voit adjoindre trois positions annexes : la batterie du Camp Romain, celle de Flavignerot et celle de Roche Chainiènes. Dans le système Boulanger (1887), ce réduit est rebaptisé « réduit Lambert ». Un poste de communications optiques de forme circulaire est également construit au point culminant du mont.
Un amer pour la navigation aérienne
En 1924, l’ancien poste de communications optiques, devenu de fait un amer pour les premiers aéronefs survolant la région, est remplacé par un puissant phare aéronautique ; celui-ci est inauguré en 19257 par Gaston Gérard, maire ( poulet à la Gaston Gérard et St Gérard le 3/10 dans le précédent billet )
de Dijon, et le général Jacques Théodore Saconney8. Il s’agit alors du premier phare aéronautique terrestre pour avions, à une époque où la navigation aérienne s’effectue encore essentiellement à vue. Néanmoins, sa présence n’empêchera pas, quelques années plus tard, un Super Goliath du 22e régiment d’aviation de Chartres de s’écraser sur une hauteur toute proche suite à des soucis mécaniques (août 1930)9. Placé au croisement des routes Paris-Suisse-Italie et Paris-Méditerranée, le puissant faisceau lumineux du phare aéronautique est dans certaines conditions visible jusqu’à 400 km (en étant à une certaine altitude de vol). On dit même qu’il aurait été « visible » de Rouen, Bruxelles, Anvers ou Turin. Créé par huit lentilles de deux mètres de diamètre, ce faisceau illumine le ciel côte-d’orien toutes les dix secondes en délivrant une puissance d’un milliard de bougies. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, une antenne et des relais de communications sont installés à quelques centaines de mètres du phare aéronautique alors désaffecté. Le site du Camp Romain est, lui, occupé par un chenil de la police municipale dijonnaise. En 2004, le crash d’un avion belge sur sa barre rocheuse fait 4 victimes
relais de télécommunications ANTENNE
En cor scellé en corps scellé en sort scellé Ankor scellé
de quel sceau ? encore un sceau à briser… une révélation ou ouverture ou lecteur ou déroulement
MISSION EMISSION
ET comme Boulanger fait aussi partie des liens communs
On y retrouve encore la Bretagne, la Belgique et l’image d’un centaure lorsqu’il est mis en fusion avec son cheval et puis il y a ébranlement de la République
on y retrouve suicide et 30 septembre..
http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Boulanger
Il est promu à la tête de la 14e brigade de cavalerie. En 1881, il représente la France lors des fêtes du Centenaire de l’Indépendance américaine à Yorktown (Virginie),
et pour l’amer ( qui se remarque de loin, qui se détache du reste, qui ressort, ou remarquable de loin , un point de repère ou une balise ) indication indicatif particularité ou particulier phare ou récif quelque chose qui fait surface, qui remonte, un aspect ou aspérité, un Mt ou point élevé à voir
http://fr.wikipedia.org/wiki/Amer_%28navigation_maritime%29